Retour sur terre
Eh bien, me voilà de retour chez moi à Marseille, quelques temps bien sonnés après mon retour.
Je peux le confesser : il n'est pas un jour qui passe sans que je ne pense à ce voyage.
Sans que je ne me remémore un lieu, une atmosphère, un détail ou une odeur. Sans que je ne me rappelle ces milliers d'êtres que j'ai croisés, leur accueil, leurs regards, leurs sourires et leurs rires, et leur gentillesse sans faille.




Les vieux, les enfants, les bébés, avec qui le contact est si facile.


Et lui, alors, pour qui je referais bien le voyage, de suite, ne serait-ce que pour rigoler avec lui devant une bonne bière!
Tout au long de ce périple, qui me semblait long avant de partir, et qui m'a semblé si court vers la fin, que je fus tentée de le prolonger.
Depuis mon retour à Marseille, Je suis à l'affût, bien sûr, de tout ce qui peut avoir trait à la Chine. Que ce soit aux infos, qu'en reportages de voyages ou en lectures. Je me suis mise à l'étude de la langue han (mandarin) et j'en bave ..., mais je m'accroche.
J'ai aussi l'impression bien souvent de bassiner mon entourage avec mes souvenirs...
Mais le moteur à rêves est déjà reparti et je sais que j'y retournerai bientôt.
Visiter la province du Sichuan, cette fois-ci et, pourquoi pas, en arrivant par le Cambodge et le Laos, ou bien même par la Birmanie. Soyons folle.
Allez, Zai jian, comme on dit là bas ...
Et en guise de conclusion (comme je l'avais fait en préambule), j'ai choisi cette maxime qui me colle à la peau :
Je peux le confesser : il n'est pas un jour qui passe sans que je ne pense à ce voyage.
Sans que je ne me remémore un lieu, une atmosphère, un détail ou une odeur. Sans que je ne me rappelle ces milliers d'êtres que j'ai croisés, leur accueil, leurs regards, leurs sourires et leurs rires, et leur gentillesse sans faille.



Les vieux, les enfants, les bébés, avec qui le contact est si facile.

Et dont je peux dire "AMI" en parlant d'eux, comme ce monsieur qui a pris le temps de me retrouver plusieurs soirs de suite pour m'apprendre à faire du cerf-volant.

Et lui, alors, pour qui je referais bien le voyage, de suite, ne serait-ce que pour rigoler avec lui devant une bonne bière!
Tout au long de ce périple, qui me semblait long avant de partir, et qui m'a semblé si court vers la fin, que je fus tentée de le prolonger.
Depuis mon retour à Marseille, Je suis à l'affût, bien sûr, de tout ce qui peut avoir trait à la Chine. Que ce soit aux infos, qu'en reportages de voyages ou en lectures. Je me suis mise à l'étude de la langue han (mandarin) et j'en bave ..., mais je m'accroche.
J'ai aussi l'impression bien souvent de bassiner mon entourage avec mes souvenirs...
Mais le moteur à rêves est déjà reparti et je sais que j'y retournerai bientôt.
Visiter la province du Sichuan, cette fois-ci et, pourquoi pas, en arrivant par le Cambodge et le Laos, ou bien même par la Birmanie. Soyons folle.
Allez, Zai jian, comme on dit là bas ...
Et en guise de conclusion (comme je l'avais fait en préambule), j'ai choisi cette maxime qui me colle à la peau :
"Le bonheur n'est pas une destination, mais une manière de voyager."
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